18 novembre 2012

Elle se fardait les yeux, pour se cacher à elle même. Elle accentuait le trait quand la simulation devenait plus compliquée, personne ne disait rien, on la trouvait belle. Elle avait de "jolis yeux", mais personne n'y voyait le vide qui l'aspirait, à part les inconnus qui la voyaient pleurer dans le métro.

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